Ce que semble être un simple inconfort pour certains s’est transformé en véritable calvaire pour les résidents de l’immeuble A de la résidence Bell’Avenue. Depuis le 25 novembre dernier, pas moins de 19 familles souffrent d’un manque d’eau chaude, une situation inacceptable qui perdure depuis trop longtemps. Les locataires expriment leur exaspération face à une récurrence des coupures, alors même que ces appartements sont relativement récents. Entre moisissures et incertitudes, il est temps de questionner cette réalité qui affecte la qualité de vie de nombreux habitants. La gestion de ce problème soulève des interrogations quant à la qualité de la construction et à la réactivité des gestionnaires, d’autant plus qu’une expertise judiciaire doit être effectuée prochainement. À La Valette, cette situation doit être entendue et des solutions doivent être exigées.
À La Valette-du-Var, depuis plusieurs semaines, une situation préoccupante affecte les résidents d’un immeuble voisin de L’Avenue 83. Les habitants souffrent d’un manque d’eau chaude, un problème qui dure depuis le 25 novembre dernier, détruisant ainsi leur quotidien. Les témoignages abondent, illustrant le désespoir croissant des locataires, parmi lesquels Marc Kirsch, qui décrit l’attente perpétuelle d’un filet d’eau tiède : « On guette toute la journée les rares moments où de l’eau tiède apparaîtra. C’est rare et ça dure depuis novembre dernier. »
Ce dysfonctionnement n’est pas isolé. En tout, 18 familles sont touchées par cette situation, et les conséquences en sont multiples. Une voisine souligne avec inquiétude : « On fait couler et on attend désespérément un peu de chaleur. Aux heures de pointe, impossible! Du coup, le froid entraîne de l’humidité partout. Regardez, les moisissures qui grimpent le long du mur ».
Des interventions frustrantes
Face à ce désagrément, les locataires se tournent vers leur syndic, CDC Habitat, et demandent des comptes. Étonnamment, ce problème concerne un immeuble qui ne date que de 2017-2018. Les occupants s’interrogent sur les raisons de tels dysfonctionnements dans une construction récente : est-ce un défaut de construction ou une conception à la va-vite ? Le syndic, de son côté, se défend en expliquant avoir déjà pris des mesures : « Nous avons sollicité le gestionnaire de la chaufferie collective à gaz, car nous avons constaté que la pression d’eau avait un débit faible pour un immeuble de cette taille. » Cependant, malgré les diverses interventions, le problème persiste.
La recherche d’une solution
Face à l’absence persistante d’eau chaude, le syndic a décidé d’faire appel à un expert judiciaire pour identifier la source exacte des dysfonctionnements. Cette décision, prévue pour ce jeudi, est accueillie avec impatience par les résidents, notamment une mère de famille préoccupée par la sécurité de ses enfants : « J’ai toujours peur de les brûler quand, par miracle, il y a un peu d’eau chaude le matin tôt. Car, les rares fois où ça marche, l’eau passe du trop chaud au glacé en quelques secondes! » Cette situation met en lumière la nécessité d’une solution rapide avant que d’éventuels accidents surviennent.
À La Valette, les locataires de l’immeuble voisin de L’Avenue 83 souffrent d’un problème récurrent de manque d’eau chaude qui persiste depuis plusieurs semaines. Marc Kirsch, résident de la résidence Bell’Avenue, avoue vivre un véritable calvaire : « On guette toute la journée les rares moments où de l’eau tiède apparaîtra. C’est rare et ça dure depuis novembre dernier. » Ce témoignage illustre le désespoir des 18 familles touchées, qui ne cessent de faire couler leur robinet en vain dans l’espoir de retrouver un filet d’eau chaude.
Les conséquences de cette situation sont multiples et impactent non seulement le confort des résidents, mais aussi leur santé. Une voisine témoigne de l’environnement devenu insalubre : « On fait couler et on attend désespérément un peu de chaleur. Aux heures de pointe, impossible! Cela engendre du froid et de l’humidité partout. Regardez, les moisissures qui grimpent le long du mur. » Ces observations laissent craindre des problèmes de santé liés à l’humidité ambiante et aux moisissures, particulièrement préoccupants dans un immeuble relativement récent.
« Plusieurs interventions mais… »
Face à une telle situation, les habitants ont cherché à obtenir des réponses de leur syndic, CDC Habitat. Ils expriment leur frustration face à l’absence de solutions efficaces malgré plusieurs interventions. « Nous prenons très au sérieux les problèmes de coupures d’eau chaude aléatoires que subissent les locataires« , a assuré le syndic. Cependant, cela ne semble pas apaiser les craintes des résidents, qui doutent de la qualité de construction des immeubles, datés de 2017-2018.
Expert judiciaire sur place
Puisque les interventions n’ont pas permis de résoudre la situation, le syndic a annoncé l’arrivée d’un expert judiciaire. De nombreux résidents attendent cette expertise avec impatience, particulièrement une mère de famille qui vit avec ses trois jeunes enfants. « J’ai toujours peur de les brûler quand, par miracle, il y a un peu d’eau chaude le matin tôt, car les rares fois où ça marche, l’eau passe du trop chaud au glacé en quelques secondes! » Des inquiétudes comme celles-ci mettent en lumière les craintes de blessures et d’accidents domestiques, témoignages supplémentaires de l’urgence d’une résolution durable à ce problème.

À La Valette-du-Var, les résidents de la résidence Bell’Avenue sont en proie à un véritable casse-tête : ils sont privés deau chaude depuis le 25 novembre dernier. Marc Kirsch, habitant de l’immeuble, témoigne : « On guette toute la journée les rares moments où de l’eau tiède apparaîtra. C’est rare et ça dure depuis novembre dernier. »
Au total, dix-huit familles rencontrent ce même problème. Ils doivent faire couler leur robinet dans l’espoir de trouver un filet d’eau chaude à n’importe quelle heure, ce qui s’avère souvent futile. Une résidente explique les conséquences : « Le froid entraîne de l’humidité partout, regardez les moisissures qui grimpent le long du mur. »
Interventions réalisées
Face à l’exaspération croissante des locataires, le syndic de l’immeuble, CDC Habitat, a entrepris plusieurs interventions. « Nous prenons très au sérieux les problèmes de coupures d’eau chaude aléatoires, » assure-t-il. Ainsi, il a fait appel à un gestionnaire de la chaufferie collective à gaz, après avoir constaté un débit d’eau faible concernant l’immeuble.
Des vannes du disconnecteur de la chaudière ont été remplacées, et un plombier a été mandaté pour vérifier les installations. Cependant, malgré ces efforts, les coupures persistent, laissant les locataires dans l’inquiétude et l’inconfort.
Appel à un expert judiciaire
Devant la persistance des dysfonctionnements, le syndic a décidé de faire appel à un expert judiciaire afin d’identifier les véritables causes de cette situation. Les locataires attendent ce rendez-vous avec impatience, espérant des solutions concrètes. Une mère de famille partage son désarroi : « J’ai toujours peur de les brûler quand, par miracle, il y a un peu d’eau chaude le matin tôt. Les rares fois où ça marche, l’eau passe du trop chaud au glacé en quelques secondes! »
« On guette toute la journée les rares moments où de l’eau tiède apparaîtra. C’est rare et ça dure depuis novembre dernier. » Marc Kirsch habite dans l’immeuble A de la résidence Bell’Avenue et n’en peut plus de faire couler son robinet à la recherche d’un filet d’eau chaude à toute heure du jour et de la nuit.
Comme lui, 18 familles de la résidence manquent d’eau chaude depuis le 25 novembre dernier (notre édition du 8 janvier). « On fait couler et on attend désespérément un peu de chaleur. Aux heures de pointe, impossible! Du coup, le froid entraîne de l’humidité partout. Regardez, les moisissures qui grimpent le long du mur », ajoute une voisine.
« Plusieurs interventions mais… »
Exaspérés, les locataires de cet immeuble, pourtant très récent, demandent des comptes à leur syndic. Autant les problèmes de canalisations sont courants dans les bâtiments qui ont 30 ou 40 ans d’âge, autant cela semble surprenant dans des immeubles qui datent de… 2017-2018 seulement. Défaut de construction? Conception à la va-vite? Le syndic, CDC Habitat, répond.
« Nous prenons très au sérieux les problèmes de coupures d’eau chaude aléatoires que subissent les locataires. Depuis le signalement de ces dysfonctionnements, plusieurs interventions ont déjà eu lieu. Nous avons sollicité le gestionnaire de la chaufferie collective à gaz, car nous avons constaté que la pression d’eau avait un débit faible pour un immeuble de cette taille. Nous avons ensuite remplacé les vannes du disconnecteur de la chaudière mais, malgré cette intervention, les coupures d’eau chaude aléatoires ont continué. Un plombier a donc été mandaté pour vérifier les équipements et aucune anomalie n’a été détectée lors de cette inspection », plaide le syndic.
Expert judiciaire sur place
« Face à cette situation persistante, nous avons pris la décision de faire appel à un expert judiciaire afin d’identifier précisément la cause des dysfonctionnements et apporter une solution définitive« , annonce le syndic.
Ce sera ce jeudi et tous les locataires attendent la date avec impatience. En particulier une mère de famille qui habite l’immeuble avec ses trois enfants en bas âge: « J’ai toujours peur de les brûler quand, par miracle, il y a un peu d’eau chaude le matin tôt. Car, les rares fois où ça marche, l’eau passe du trop chaud au glacé en quelques secondes! Je n’ai pas envie de finir aux urgences avec mes enfants… »